• PrésentationTitre: Soul Eater

    Auteur: Astushi Okubo

    Type: shonen

    nombre de tomes : 22

    série finie

    version anime : oui

    nombre de saisons en anime: 1

    nombre d'épisodes: 51

    Résumé:

    Dans un monde parsemé d'horribles démons se délectant des âmes de leurs innocentes victimes, l'université Shibusen forme des chasseurs de démons, les Meisters. Chaque Meister se voit confier une arme qui a la capacité de prendre forme humaine ; on appelle ces armes des ''Soul Eaters'' car elles se repaissent littéralement des âmes des démons (ou ''Oeufs de Kishin'') qu'elles tuent. Une fois qu'un Soul Eater a mangé 99 ''Oeufs de Kishin'' il doit avaler une âme de sorcière afin de prétendre au titre de ''Death Scythe'' (Faux de la Mort)...C'est le but que poursuivent la jeune Maka (fille modèle d'une Meister et de son Soul Eater) et sa grande faux Soul, aux apparences de gamin rebelle et dont le but dans la vie est d'être le plus ''cool'' possible...

      

    La critique de Black


    Soul Eater, c'est quoi? C'est surtout un manga pas trop réfléchit, une gigantesque déconnade qui tourne -très vaguement- autour du thème du dieu de la mort... Et moi, j'adore ça. Le côté pas prise de tête, les graphismes simples et efficaces, l'humour totalement déglingué de l'auteur... Un série absolument parfaite pour se débrancher le cerveau en se tordant comme un asticot épileptique sur sa chaise. Mention spéciale pour l'adaptation anime: c'est sans rire la meilleure animation que je n'ai jamais vue, les dessins ne sont pas massacrés, l'univers WTF respecté à la lettre avec des doubleurs de tarés en japonais mais aussi -surprise- en version anglaise. C'est seulement nous les français qui y auront échappé avec (c'est pas nouveau) des voix nulles. Et je pese mes mots. Soul Eater donc, pour délirer entre otakus... Un manga original (le milieu de la série est pas révolutionnaires mais bon); qui reste bon malgré une évolution de style, c'est du grand n'importe quoi mais tout le monde s'éclate. Surtout ce gros pervers d'auteur.


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